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MONNAIES GRECQUES DIVISIONNAIRES

Chalcidique

71

Chian

109

Cistophorique

114

Corinthien

78, 89

Éginétique

52‑53, 65, 79‑81, 84‑87, 90‑91, 95

Éginétique léger

92

Euboïco-attique

56, 82

Himyarite

123‑124

Illyrien

77

Indien

129, 131, 133‑134

Italo-tarentin

47

Lycien

115

Lydo-babylonien

97

Milésiaque

55, 105

Péonien

76

Persique

57, 63, 93‑94, 106, 116, 125

Phénicien

50

Phénicien réduit

122

Phoçaïque

68, 101‑102, 108, 118

Rhodien

54, 75, 83, 107, 111

Rhodien léger

112‑113

Romain

77

Samien

103

Thraco-macédonien

60‑61

Thasien

62, 70

Nous ne pouvons absolument pas aborder ici tous les aspects monétaires concernant étalons

et monnaies grecques. Le système semble très compliqué, voir incompréhensible et nous

pouvons nous demander comment les Grecs pouvaient échanger quand ils changeaient de cité

ou de région.

Il y avait des équivalences entre les différents systèmes et surtout il y avait des changeurs. À

Athènes, ils se trouvaient dans le quartier du Trapèze, le mot est resté puisqu’il a donné le mot

banque (trapeza) en grec. La monnaie divisionnaire est frappée pour l’usage local et limitée à

la cité et à sa pérée (ses environs). Seules les grandes dénominations (tétradrachme ou statère)

sont destinées à une circulation plus large, en particulier celles frappées dans les étalons

reconnus sur l’ensemble du monde grec comme l’attique. Nous avons néanmoins des aires

de circulation dites régionales qui permettent d’analyser et de comprendre les mécanismes

économiques.

Laurent Schmitt

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