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MONNAIES MODERNES FRANÇAISES
390.
20 francs or Bonaparte Premier Consul, 1804, An
12 (1803‑1804)
, Paris, A,
3
, 988244 ex., (Or, Ø 21,09 mm,
6 h, 6,41 g). (pd. th. 6,45161 g, titre 900 ‰, taille 155 au kilo).
A /
B O N A PA RT E
PREMIER CONSUL●
.
Tête nue de Bonaparte
à gauche ; signé Tiolier
cursif au-dessous.
R /
RÉ PUBL I QUE
F R A N Ç A I S E ● /
●(Coq)● AN 12● ●A●
.
20 / FRANCS. dans une
couronneforméededeux
branchesd’oliviernouées
à leur base. Tranche A.
M/
Charles-Pierre de
l’Espine (1797‑1821).
GG/
Pierre-Joseph
Tiolier (1803‑1816).
G/
Pierre-Joseph Tiolier
(1763‑1819).
Deux rayures sous le nez et des stries d’ajustage au revers.
Superbebrillantdefrappe,maisdepetites tracesdemanipulation
dans les champs brisent son unité, minime fatigue sur le sourcil
et sur les mèches de la tempe, bien visible à la loupe x10.
Exemplaire bien frappé et bien centré. F. 510/2.
SUP 55
450 € / 700 €
Axe à 5h30.
391.
5 francs Bonaparte Premier Consul, An XI
(1802‑1803)
, Marseille, MA,
~
, 205732 ex., (Ar, Ø 36,80 mm,
6 h, 24,71 g). (pd. th. 25 g, titre 900 ‰, taille 40 au kilo).
A/
BONAPARTEPREMIERCONSUL●
.TêtenuedeNapoléon
Bonaparte à droite ; au-dessous Tiolier en cursif.
R/
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE● / ●(différent)● AN 12●
●MA●
. 5 / FRANCS., en deux lignes, dans une couronne
composée de deux branches d’olivier, nouées à leur base par
un ruban. Tranche A.
GG/
Pierre-Joseph Tiolier (1803‑1816).
G/
Pierre-Joseph
Tiolier (1763‑1819).
Usure régulière de circulation sur les reliefs. La monnaie est
cependant bien centrée et est recouverte d’une agréable patine
grise de collection aux reflets irisés. F. 301/6.
R. TB 30
250 € / 400 €
388.
Cinq centimes Dupré, grand module, An 8/5
(1799‑1800)
, Strasbourg, BB,
!>
, --- ex., (Cu, Ø 28,50 mm,
6 h, 10,58 g). (pd. th. 10,00 g, taille 100 au kilo).
A/
●REPUBLIQUE -FRANÇAISE●*
.BustedrapédelaLiberté
à gauche coiffée du bonnet phrygien (Mesdames Tallien ou
Récamier) ; signé Dupré cursif au-dessous.
R/
CINQ /CENTIMES●
.Endeuxlignesdanslechamp,au-dessus
L’AN 8/5 suivi d’un point et de la lettre d’atelier BB encadrés
des différents, dans une couronne fermée composée de deux
branches de chêne opposées nouées à leur base par un ruban.
M/
Gabriel-GodefroidDubois(1797‑1801).
GG/
AugustinDupré
(1791‑1803).
G/
Augustin Dupré (1748‑1833).
Traces de laminage au droit. Usure régulière de circulation sur
les reliefs. Monnaie bien frappée et bien centrée recouverte
d’une jolie patine de collection.
F. 115/61.
R. TTB 40
180 € / 300 €
Cet exemplaire provient de MONNAIES 48 n° 729.
Cassure de coin au droit derrière l’effigie. De même coin de
reversquel’exemplairedelaCollectionIdéaleavecuneposition
incroyable du 5 qui est complètement visible car totalement
décalé par rapport au 8. C’est le seul exemple, parmi les coins
aux dates modifiées, d’une telle erreur : normalement, les
chiffres sont toujours bien superposés.
389.
Cinq centimes Dupré, grand module, CNIQ,
An 8/5 (1799‑1800)
, Strasbourg, BB,
!>
, --- ex., (Cu,
Ø 28,10 mm,6 h,9,32 g).(pd. th. 10,00 g,taille 100 au kilo).
A/
Même Description.
R/
CNIQ / CENTIMES●
. En deux lignes dans le champ,
au-dessus L’AN 8/5 suivi d’un point et de la lettre d’atelier
BB encadrés des différents, dans une couronne fermée
composée de deux branches de chêne opposées nouées à
leur base par un ruban.
M/
Gabriel-GodefroidDubois (1797‑1801).
GG/
Augustin
Dupré (1791‑1803).
G/
Augustin Dupré (1748‑1833).
Usure importante de circulationmais un exemplaire propre
et complet. Patine foncée. F. 115/62.
RR. B 12
250 € / 400 €
C’est le second exemplaire répertorié de cettemonnaie qui
afaitl’objetd’unenouvellelignedansleFRANC IX.C’est
le nouvel exemplaire de la Collection Idéale.