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MONNAIES MODERNES FRANÇAISES

nouées à leur base par un ruban.

M/

Louis-Alexandre Röettiers deMontaleau (1795‑1797).

GG/

AugustinDupré (1795‑1803).

G/

AugustinDupré (1748‑1833).

Usure régulière sinon un exemplaire convenable pour ce type

que l’on trouve toujours en état d’usure avancée. La monnaie

est recouverte d’une patine sombre.

F. 127/1.

R. TTB 40

   250 € / 400 €

Ces pièces sont modifiées en vertu de la Loi du 3 brumaire an 5

(24 octobre 1796). Le nombre total de pièces modifiées n’est pas

réellement connu. La tradition veut que la modification ait été

effectuée par les prisonniers du bagne de Toulon entre autres.

383.

Cinq centimes Dupré, grand module, An 7/5

(1798‑1799)

, Paris, A,

!3FÉ

, --- ex., (Cu, Ø 27,99 mm,

6 h, 8,75 g). (pd. th. 10,00 g, taille 100 au kilo).

A/

●REPUBLIQUE - FRANÇAISE●*

. Buste drapé de la

Liberté à gauche coiffée du bonnet phrygien (Mesdames

Tallien ou Récamier) ; signé Dupré cursif au-dessous.

R/

CINQ / CENTIMES●

. En deux lignes dans le champ,

au-dessus L’AN 7/5 suivi d’un point et de la lettre d’atelier

A encadrée des différents, dans une couronne fermée

composée de deux branches de chêne opposées nouées à

leur base par un ruban.

M/

Charles-Pierre de l’Espine (1797‑1821).

GG/

Augustin

Dupré (1791‑1803).

G/

Augustin Dupré (1748‑1833).

Exemplaire d’aspect superbe et bien centré. Jolie patine

marron clair. Monnaie très agréable.

F. 115/28.

RR. TTB 54

 380 € / 600 €

Cet exemplaire provient de MONNAIES 42 n° 612 et

de MONNAIES 48 n° 726.

Variété avec le coq regravé sur la corne d’abondance et

le 7 du millésime regravé sur un 5.

381.

2 décimes Dupré, An 4 (1795‑1796)

, Limoges,

I,

!l

, 1209213 ex., (Cu, Ø 32,69 mm, 6 h, 19,15 g).

(pd. th. 20,00 g, taille 50 au kilo).

A/

REPUBLIQUE FRANÇAISE●

. Tête de la République

aux cheveux longs à gauche, drapée et coiffée d’un bonnet

phrygien (Mesdames Tallien ou Récamier) ; au-dessous

Dupré* en cursif.

R/

2 /DÉCIMES●

.Endeuxlignesdanslechamp,au-dessus

de L’AN4 suivi d’un point et de la lettre d’atelier I encadrés

des différents, dans une couronne fermée composée de

deux branches de chêne nouées à leur base par un ruban.

M/

François Alluaud (1796‑1798).

GG/

Augustin Dupré

(1795‑1803).

G/

Augustin Dupré (1748‑1833).

Usure assez importante de circulation sur les reliefs. La

monnaie est cependant bien centrée sur un flan un peu plus

large. Jolie patine marron de collection.

F. 145/3.

RR. B 12

 250 € / 400 €

Ce type est fabriqué suite à la loi du 28 thermidor an 3.

La frappe débute le 27 floréal an 4 (16 mai 1796) et dure

jusqu’au 21 septembre 1796. 9.177.562 pièces au total

ont été mises en service. La fabrication des flans était

sous-traitée auprès de différents entrepreneurs dont nous

avons retrouvé la trace dans les manuscrits de fabrication

de la Monnaie de Paris : Daumy (7.459.977 ex.) ; Marc

(139.747 ex.) ; Baumann (701.894 ex.) ; Godot (32.207

ex.) ; Beudot (360.203 ex.) ; Pérelle (77.217 ex.) ; Brézin

(344.100 ex.) ; Folcade (62.217 ex.).

382.

Un décime Dupré, modification du 2 décimes, An 4

(1795‑1796)

, Paris, A,

, 537500 ex., (Cu, Ø 31,74 mm, 6 h,

19,18 g). (pd. th. 20,00 g, taille 50 au kilo).

A/

REPUBLIQUE FRANÇAISE●

. Tête de la République

aux cheveux longs à gauche, drapée et coiffée d’un bonnet

phrygien (MesdamesTallien ou Récamier) ; au-dessous Dupré*

en cursif.

R/

UN (poinçonnéencreux) /DÉCIME (espacepourleSarasé)●

.

En deux lignes dans le champ, au-dessus de L’AN 4 suivi d’un

point et de la lettre d’atelierAencadrés des différents, dans une

couronneferméecomposéededeuxbranchesdechêneopposées

n° 383 R/