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TARSE - SATRAPE DATAMÈS -
(378‑362 avant J.‑C.)
bgr_314244.
Statère, c. 373‑368 AC., Tarse,
Cilicie,
étalon persique, (Ar, Ø 23,5 mm, 10 h, 10,87 g).
(pd. th. 10,56 g).
A/
Anépigraphe
. Tête d’Aréthuse de trois quarts de face à
gauche, les cheveux flottant au vent avec collier et boucles
d’oreille.
R/
Légende araméenne (Tarkumuwa)
. Tête de
guerrier barbu (Arès ou Datamès) à droite, coiffé d’un
casque à triple aigrette.
Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan large et
ovale, bien centré des deux côtés et les grènetis visibles.
Magnifique tête d’Aréthuse au droit où tous les détails
du visage son visibles. Magnifique tête au revers. Très
belle patine de médaillier avec des reflets mordorés.
Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de
son coupant d’origine.
Levante 78 - Aulock 5939 - GC. 5644 - SNG France
2/263 - BMC.- - B. traité603 pl. 108/19 - R. A. Moysey,
Staters of Pharnabazos and Datames from Tarsus, MN.
31, p. 7‑61, pl. 2/21 - G. Le Rider, La naissance de la
monnaie. Pratiques monétaires de l’Orient ancien, p.
207‑237, pl. 6, n° 9.
R. SPL
1030 €
Cet exemplaire provient de la collection B. Odaert.
Début de cassure de coin perceptible au droit dans la
chevelure d’Aréthuse à droite.
bgr_352675.
Statère, c. 365‑362 AC., Tarse,
Cilicie,
étalon persique, 5
e
ém., (Ar, Ø 23 mm, 12 h,
10,46 g). (pd. th. 10,56 g, 2 drachmes ou 12 oboles).
A/
Légendearaméenne (BaalTarz)
.Baaltarsassisàdroite
sur un siège sans dossier, tenant un sceptre surmonté
d’un aigle de la main droite et un cep de vigne de la main
gauche avec un épi de blé ; devant lui, un thymiaterion ;
le tout entouré des murailles d’une cité.
R/
Légende araméenne (Ana/Tadnmu)
. Le dieu du ciel
Ana, nu debout à gauche, tourné à droite, étendant la
main droite vers Datames debout à droite tourné à gauche
dans l’attitude de la proskynèse (s’inclinant en plaçant la
main devant la bouche) ; entre eux, un thymiaterion ; le
tout dans un carré bouleté figurant le naos d’un temple.
Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan large et
ovale, régulier. Droit de toute beauté, finement détaillé.
Joli revers de style fin et de haut relief. Magnifique
patine de médaillier gris foncé avec des reflets mordorés.
Levante 83 - Aulock 5945 - GC. 5646 - SNG France
2/291 -R.A.Moysey,StatersofPharnabazosandDatames
fromTarsus, MN. 31, p. 7‑61, pl. 4/41 et 49 - G. Le Rider,
La naissance de la monnaie. Pratiques monétaires de
l’Orient ancien, p. 207‑237, pl. 6, n° 11.
R. SPL
1500 €
Cet exemplaire provient de la vente iNumis 3, n° 30
et de la collection d’Élisabeth.
Semble de mêmes coins
que l’exemplaire de l’American Numismatic Society
(Moysey, pl. 4/41).
TARSE - SATRAPE
DATAMÈS - 378‑362 avant J.‑C.)
bgr_239423.Obole, c. 375 AC, Tarse, Cilicie,
étalon persique, (Ar, Ø 9 mm, 6 h, 0,59 g). (pd. th. 0,80 g,
1/6 drachme).
A/
Anépigraphe
. Tête féminine vu de trois quarts de
face à gauche avec l’ampyx (bandeau) et un collier, les
cheveux flottants.
R/
Légende araméenne (Tadnmu)
.
Tête casquée d’Arès à droite avec cimier et triple aigrette.
Exemplaire sur un petit flan irrégulier à l’usure régulière.
Beaux portraits. Patine gris foncé.
Levante 92 - Aulock- - GC. 5643 var. - SNG France
2/309 - B. traité597.
R. TTB
125 €
Sembledemêmescoinsque l’exemplairede lacollection
E. Levante (n° 92, pl. ).
TARSE - SATRAPE MAZAIOS -
(361‑334 avant J.‑C.)
bgr_301749.
Statère, c. 340 AC., Tarse,
Cilicie,
étalon persique, (Ar, Ø 23,5 mm, 9 h,
10,74 g). (pd. th. 10,56 g, 2 drachmes ou 12 oboles).
A/
(BLTRZ, « Baal Tarz » = Baaltars) en araméen
.
Baaltarsassisàgauche,tenantunsceptrelotiforme ;
dans le champ à gauche, une grappe de raisn.
R/
(MZDI, « Mazdai » = Mazaios) en araméen ;
deux lettres au-dessou
. Lion attaquant un taureau.
Exemplaire sur un flan irrégulier avec les grènetis
visibles. Usure importante, mais parfaitement
identifiable et lisible. Patine grise avec des reflets
dorés légèrement granuleuse. BMC.- - Aulock- -
Cop.- -Levante- -GC.- -B.traité- -SNGFrance2/-.
INÉDIT. TB+
280 €
Exemplaire hybride associant un droit de
l’émission suivante avec un revers de l’émission
précédente. Faux d’époque ?