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MONNAIES FRANÇAISES MODERNES

gauche, coiffée du bonnet phrygien orné d’une cocarde ;

signé G. GUIRAUD derrière.

R/

LIBERTE -EGALITE -FRATERNITE

.50 /FRANCS /

1950 ;coqdeboutàdroiteau-dessusd’unebranched’olivier.

M/

Régie des Monnaies (depuis 1880).

GG/

Lucien Bazor

(1931‑1958).

G/

Georges Guiraud (1900‑1989).

Usurerégulièredecirculationsurl’ensembledesreliefs.Cet

exemplaireestrecouvertd’uneagréablepatinedecollection.

F. 425/3.

RR. TTB 45

 350 € / 500 €

Ce type est créé suite à la loi du 27 mai 1950 et l’arrêté

du 7 juin 1950. Nous ne connaissons pas le chiffre de

fabrication pour 1950 qui est inclus dans celui de 1951

et doit être faible par rapport aux 68 629 600 pièces du

millésime1951,carlemillésime1950serencontrerarement.

523.

20 francs Georges Guiraud, 4 faucilles, 1950

,

Beaumont-Le-Roger,B,

ˆ.

, --- ex.,(Br-Al,Ø 23,51 mm,

6 h, 3,94 g). (pd. th. 4 g, taille 250 au kilo).

A/

REPUBLIQUE FRANÇAISE

. Tête de Marianne

aux cheveux longs à gauche, couronnée d’une branche

d’olivier portant fruit, ornée d’une cocarde tricolore (centre

guilloché horizontalement, cercle ondulé, cercle guilloché

verticalement) ; signé GEORGES GUIRAUD derrière,

le long du listel.

R/

LIBERTE EGALITE FRATERNITE

. 20 / FRANCS /

1950 encadré des différents / B ; coq debout à droite au-

dessus d’une branche de laurier vers la gauche.

M/

Régie des Monnaies (depuis 1880).

GG/

Lucien Bazor

(1931‑1958).

G/

Georges Guiraud (1900‑1989).

Exemplaire de toute beauté avec la quasi totalité de son

brillant d’origine et recouvert d’une jolie patine, plus

foncée au droit.

F. 401/3.

RRR. SPL 63

 850 € / 1200 €

QUATRIÈME RÉPUBLIQUE (16/01/1947‑8/01/1959)

S

e caractérisant par un régime parlementaire doublé

d’une grande instabilité ministérielle, la Quatrième

République a pour particularité de n’avoir jamais été

officiellement proclamée. En effet, De Gaulle, lors de

son arrivée à Paris le 25 août 1944, refuse de le faire sous

prétexte que la République n’avait jamais cessé d’exister.

Considérant que l’État français du maréchal Pétain n’était

qu’unsimpleétatde fait, ilestimequelaRépubliqueasurvécu

dans la France libre et son acte de naissance doit alors être

le 18 juin 1940. Toutefois, son départ, le 20 janvier 1946, et

le référendum du 13 octobre 1946 approuvant une nouvelle

Constitution, marquent le début officiel de cette république.

Elle connaît deux présidents : Vincent Auriol (16/01/1947 -

23/12/1953) et René Coty (23/12/1953 - 8/1/1959). La crise

ouverte causée par la révolte de l’armée d’Algérie entraîne,

en 1958, sa chute qui est confirmée par l’adoption d’une

nouvelle constitution le 28 septembre 1958. Néanmoins, elle

ne cesse définitivement d’être que le 8 janvier 1959 lors de

l’installation du général de Gaulle comme président de la

V

e

République.

521.

Essai-piéfort au double de 100 francs Cochet,

1954

, 104 ex., (Cu-Ni, Ø 24,03 mm, 12 h, 11,47 g).

(pd. th. 12 g).

A/

REPUBLIQUE / FRANÇAISE

. Buste de Marianne

aux cheveux longs à droite, coiffée du bonnet phrygien

timbré d’une cocarde tricolore en pétales (centre guilloché

en cercles concentriques, cercle de pétales lisses, cercle de

pétales guillochées centrifuges), tenant un flambeau allumé

dans le vent, signé RC en monogramme derrière la nuque.

R/

LIBERTE ● EGALITE / ●FRATERNITE● en deux

lignes, 100 FRANCS (millésime) en trois lignes, différents

sous le millésime contre le listel

. Bouquet de trois épis et

deux branches d’olivier chargées de fruits à droite, signé

R. COCHET au-dessous contre le listel.

GG/

LucienBazor(1931‑1958).

G/

R.Cochet(1903‑1988).

Splendide exemplairemalgré des marques demanipulation

dans les champs. Début de patine.

F. 450/3 var.

RR. SPL 63

 280 € / 500 €

522.

50 francs Guiraud, 1950

, Paris,

ˆ.

, --- ex.,

(Br-Al, Ø 27,01 mm, 6 h, 8,13 g). (pd. th. 8,00 g,

taille 125 au kilo).

A/

REPUBLIQUE - FRANÇAISE

. Tête de Marianne à