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MONNAIES MODERNES FRANÇAISES
427.
5 francs Louis-Napoléon, 1852
, Strasbourg,
b
,
ŸÖ
,41321 ex.,(Ar,Ø 37,31 mm,6 h,24,62 g).(pd. th. 25 g,
titre 900 ‰, taille 40 au kilo).
A/
(différent) LOUIS - NAPOLEON BONAPARTE (dif-
férent)
. Tête nue de Louis-Napoléon Bonaparte à gauche ;
au-dessous signé BARRE le long du cou.
R/
REPUBLIQUE FRANÇAISE●
. 5 / FRANCS en deux
lignesdans lechamp,au-dessusde1852,dansunecouronne
composite de deux branches de chêne et de deux de laurier,
nouées deux par deux en bas par un ruban, en ordre alterné,
d’abord chêne à gauche et d’abord laurier à droite ; sous le
nœud, la lettre d’atelier. Tranche B.
M/
Alfred Renouard de Bussière (1834‑1860).
GG/
Jean-
JacquesBarre(1843‑1855).
G/
Jean-JacquesBarre(1793‑1855).
Usure assez importante de circulation sur les reliefs et des
égratignures dans les champs. La monnaie est recouverte
d’une jolie patine grise de collection. F. 329/3.
RRR. TB 20
500 € / 750 €
C’est la seconde fois que nous proposons cette monnaie
à la vente.
426.
20 francs or Louis-Napoléon, 1852
, Paris, A,
Ÿ6
,
9857428 ex., (Or, Ø 21,23 mm, 6 h, 6,47 g). (pd. th. 6,45161 g,
titre 900 ‰, taille 155 au kilo).
A/
LOUIS-NAPOLEONBONAPARTE
. Tête nue du président
de la République Louis-Napoléon Bonaparte à droite ; au-
dessous (différent) BARRE (différent).
R/
REPUBLIQUEFRANÇAISE●
.20 /FRANCS,endeuxlignes
dans le champ, au-dessus de 1852, dans une couronne composée
de deux branches de laurier nouées en bas ; sous le nœud, (A).
Tranche B.
M/
Charles-LouisDierickx(1845‑1860).
GG/
Jean-JacquesBarre
(1843‑1855).
G/
Jean-Jacques Barre (1793‑1855).
Remarquable exemplaire pour ce type difficile à trouver en bel
état de conservation. La pièce conserve son brillant d’origine et
a un aspect coupant. On doit juste noter de minuscules marques
de manipulation dans les champs. F. 530/1.
SUP 60
350 € / 500 €
Ce type est mis en fabrication suite au décret du 3 janvier
1852. D’après les informations inédites tirées des registres de
la Monnaie de Paris, la frappe de ce type ne serait intervenue
qu’en 1853 alors que le prince-président était devenu entre
temps Napoléon III, entre le 4 janvier et le 7 septembre 1853
au cours de 1.058 délivrances. Pour cette émission, la règle
d’emboîtage semble bien avoir été de 6 échantillons et non pas
huit par délivrance. Néanmoins, 630.937 pièces auraient été
frappées en 1852 et refondues.
n° 423 R/
n° 427 R/
n° 425