LA TÉTRARCHIE
215
brm_173879.Aurelianus,290‑291,printemps
290‑291, Lyon
, 7
e
ém., 1
re
off., (Bill, Ø 23 mm,
12 h, 3,82 g).
A/
IMP MAXIMIANVS AVG
. (B01)
R/
IOVI -
AVGG/ -|-// A
.
Exemplaire sur un flan large et bien centré des deux
côtés.Très beau portrait. Joli revers. Patine grise avec
desrefletsmétalliquesdorés.Conservesonbrillantde
frappe. B. 331 pl. XXIII (9 ex.) - RIC. 384 - C. 313 -
ROME 1/66 - Compas 217 - B. supp 3/ 331h techn.
RRR. SUP
140 €
Cet exem
plaire provient de la liste ROME 1003,
n° 86.
Avecl’intégralitédesonargenture.Rubansde
type3auxextrémitésbouletées.Cuirasseetépaulière
cloutées.Ptérygesfines.Nousn’avonsrelevéaucune
liaison de coin pertinente. Sur notre exemplaire,
malgré l’état de conservation exceptionnel, la
légende semble brouillée. Sous les premières lettres
de MAXIMIANVS, nous semblons apercevoir en
faisant jouer en lumière rasante et à grossissement
x 10 les restes des lettres DIO[CL]E. La gravure
des deuxM est particulièrement « bizarre ». De tels
cas de regravure de légende ont déjà largement été
signalésetcommentés(cf.DanielGricourt,Aureliani
de l’atelier de Lyon sous l’empereur Dioclétien :
enquête et données nouvelles, RBN., CXXX, 1984,
p.68n° 8,pl.IIIetsurtoutIIIquestiond’épigraphie
et d’iconographie monétaires, p. 97‑99). Prendra
le numéro 331h techn. dans le Supplément III. En
fait tous les exemplaires que nous avons examiné
semblent présenter la même anomalie.
brm_173881.Aurelianus,290‑291,printemps
290‑291, Lyon
, 7
e
ém., 1
re
off., (Bill, Ø 22 mm,
12 h, 3,57 g).
A/
IMP MAXIMIANVS AVG
. (B01)
R/
IOVI -
AVGG/ -|-// A
.
Exemplaire sur un flan bien centré. Beau portrait. Joli
revers. Patine grise avec des reflets dorés, légèrement
granuleuse. Conserve son brillant de frappe.
B. 331 pl. XXIII (9 ex.) - RIC. 384 - C. 313 - ROME
1/66 - Compas 217 - B. supp 3/ 331g techn.
RRR. SPL
140 €
Cet exem
plaire provient de la trouvaille n° 1.
Avec
l’intégralité de son argenture. Rubans de type 3 aux
extrémitésbouletées.Cuirasseetépaulièrecloutées.
Ptéryges fines. Même coin de droit que l’exemplaire
de ROME XX, n° 173880. Sur notre exemplaire,
malgré l’état de conservation exceptionnel, la
légende semble brouillée. Sous les premières lettres
de MAXIMIANVS, nous semblons apercevoir en
faisant jouer en lumière rasante et à grossissement
x 10 les restes des lettres DIO[CL]E. La gravure
des deuxM est particulièrement « bizarre ». De tels
cas de regravure de légende ont déjà largement été
signalésetcommentés(cf.DanielGricourt,Aureliani
de l’atelier de Lyon sous l’empereur Dioclétien :
enquête et données nouvelles, RBN., CXXX, 1984,
p.68n° 8,pl.IIIetsurtoutIIIquestiond’épigraphie
et d’iconographie monétaires, p. 97‑99). Prendra
le numéro 331g techn. dans le Supplément III. En
fait tous les exemplaires que nous avons examiné
semblent présenter la même anomalie.
brm_173937.Aurelianus, 290‑291, printemps
290‑291,Lyon
,7
e
ém.,2
e
off.,(Bill,Ø 21 mm,12 h,3,30 g).
A/
IMPMAXIMIANVSAVG
.(B01)
R/
PAX -A-VGG/ -|-//
B
. Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un petit flan,
parfaitementcentrédesdeuxcôtésaveclesgrènetisvisibles.
Portrait de toute beauté. Revers magnifique. Patine grise
avec des reflets métalliques dorés. Conserve l’intégralité
de son brillant de frappe et son coupant d’origine, neuf !.
B. 380 pl. XXVII (131 ex.) - RIC. 399 - C. 438 - ROME
1/78 (cet ex.) - Compas 230.
FDC
140 €
Cet exemplaire provient de ROME I, n° 78.
Poids léger.
Avec l’intégralité de son argenture. Rubans de type 3
aux extrémités bouletées. Cuirasse et épaulière cloutées.
Ptéryges fines et tombantes.
brm_152903.Aurelianus,290‑291,printemps
290‑291, Lyon
, 7
e
ém., 2
e
off., (Bill, Ø 22,5 mm,
12 h, 3,72 g).
A/
IMP MAXIMIANVS P AVG
. (A)
R/
PAX -
A-VGG/ -|-// B
. Exemplaire sur un flan large, bien
centré des deux côtés avec les grènetis visibles.
Portrait de toute beauté. Revers magnifique de haut
relief. Patine avec des reflets mordorés. Aurelianus
ayant conservé son brillant de frappe et son coupant
d’origine.B. 373pl.XXVI(6ex.) -RIC. 398 -C. 448
corr -ROME1/74(cetex) -Compas 227(cetex.) -B.
supp 3/ 373d.
RR. FDC / SUP
130 €
Cet exemplaire provient de la trouvaille n° 1, de
ROME I, 1995, n° 74 et de la collection Daniel
Compas, MONNAIES XXVII, n° 227.
Avec
l’intégralité de son argenture. Rubans de type 3
aux extrémités bouletées. Ptéryges larges sous le
paludamentum.Débutdecassuredecoinperceptible
au droit au niveau de la base du portrait et dans la
légendededroit.Nousn’avonsrelevéaucuneliaison
de coin pertinente. C’est le septième exemplaire
publié.Prendralenuméro373ddansleSupplément
III de Bastien.