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173092. Aurelianus, 1 reoff., (Bill, 22,5 mm, 6 h, 3,79 g).
A/ Même description.
R/ ORIE-NS AVG/ -|-// I . “Oriens Augusti”, (L’Orient de
l’auguste). Sol (le Soleil) nu, le manteau flottant sur l’épaule,
marchant à gauche, levant la main droite et tenant un globe
de la main gauche ; à ses pieds, de chaque côté, un captif
assis dos à dos, les mains liées dans le dos.
Exemplaire sur un flan ovale parfaitement centré des deux
côtés avec une partie des grènetis visibles. Portrait de haut
relief. Joli revers de frappe molle avec de nombreuses
détériorations du coin visibles. Magnifique patine de col-
lection avec des reflets métalliques.
B. 164 pl. XIX (48 ex.) - RIC. 44 - C. 388 - ROME 2/
53 - Compas 28.
SUP / TTB+ .................................................................. 95€
Avec l’intégralité de son argenture superficielle. Ptéryges
aux extrémités bouletées. Cuirasse lisse. Épaulière cloutée.
Ptéryges fines. Cassure de coin caractéristique au revers.
173094. Aurelianus, 1 re off., (Bill, 23 mm, 6 h, 3,28 g),
(pd. th. 3,87 g, titre 50 ‰, taille 1/84 L., 4 deniers).
A/ et R/ Même description.
Exemplaire sur un flan large centré des deux côtés. Beau
portrait. Revers mal venu à la frappe. Patine grise avec
des reflets métalliques, granuleuse.
B. 164 pl. XIX (48 ex.) - RIC. 44 - C. 388 - ROME 2/
53 - Compas 28.
TTB+ / TB+ ................................................................. 45€
Cet exemplaire provient de la liste 1003, n° 15.
Poids léger. Avec l’intégralité de son argenture superfi-
cielle. Ptéryges aux extrémités bouletées. Cuirasse lisse.
Épaulière et ptéryges invisibles.
173096. Aurelianus, 1 reoff., (Bill, 23 mm, 12 h, 3,43 g).
A/ Même description.
R/ ORIE-S AVG/ -|-// I (sic !). “Oriens Augusti”,
(L’Orient de l’auguste). Sol (le Soleil) nu, le manteau
flottant sur l’épaule, marchant à gauche, levant la main
droite et tenant un globe de la main gauche ; à ses pieds,
de chaque côté, un captif assis dos à dos, les mains
liées dans le dos.
Exemplaire sur un flan mince, large, ovale et irrégulier.
Beau portrait. Frappe un peu molle au revers. Patine
marron foncé.
B. 164 c pl. XIX (48 ex.) - RIC. 44 - C. 388 - ROME
2/ 53 - Compas 28. - B. supp. 3/ 164n.
RRR. TTB ........................................................... 125€
Poids léger. Sans argenture. Rubans de type 3. Cui-
rasse lisse. Épaulière cloutée. Ptéryges fines. Au re-
vers, notre aurelianus présente comme les deux exem-
plaires de la collection Missong du Kunsthistorisches
Museum de Vienne, une faute d’orthographe de la
légende avec ORIES AVG au lieu d’ORIENS AVG.
Même coin de revers que l’exemplaire de la collection
Missong du Kunsthistorisches Museum de
Vienne (n° 52095), Bastien n° 164c, pl. XIX. C’est le
cinquième exemplaire signalé de cette rare variété. Pren-
dra le numéro 164n dans le Supplément III du Bastien.
173097. Aurelianus, 1re off., (Bill, 22,5 mm, 5 h, 3,34 g).
A/ IMP C MAVR PROBVS AVG. “Imperator Cæsar Marcus
Aurelius Probus Augustus”, (L’empereur césar Marc Aurèle
Probus auguste). Buste radié et cuirassé de Probus à droite
avec pan de paludamentum, vu de trois quarts en avant (B01).
R/ SECVRITAS ORBIS/ -|-// I. “Securitas Orbis”, (La Sécu-
rité du monde). Securitas (la Sécurité) debout de face, tournée
à gauche, les jambes croisées, son bras gauche appuyé sur
une colonne à droite, tenant de la main droite un long sceptre.
Bel exemplaire. Patine gris foncé. Beau portrait rappelant
encore les traits de Florien. B. 165 pl. XIX (26 ex.) - RIC.
49 - C. 624 - ROME 2/ 54 (cet ex.) - Compas -.
R. TTB .......................................................................... 95€
Cet exemplaire provient de la trouvaille n° 1 et de
ROME II, n° 54. Poids léger. Avec son argenture superfi-
cielle. Rubans de type 3 aux extrémités bouletées. Cui-
rasse lisse. Épaulière invisible. Ptéryges fines.
Le portrait de Probus, au droit, ressemble étonnamment
au portrait de Florien, son prédécesseur. Il est en effet
intéressant de constater que les premières monnaies frap-
pées par un empereur présentent souvent les traits du
visage de l’empereur précédent. Ceci est du au fait que
l’atelier ne possédait pas nécessairement l’imago du nou-
veau prince, mais aussi du à l’habitude plastique contrac-
tée par les graveurs qui avaient pendant plusieurs mois
taillé des coins représentant l’empereur précédent. C’est
la première fois que ce type de revers est utilisé à Lyon.
Ce thème sera repris par Carus sous la forme de «Securitas
Publica», puis par les Tétrarques avant la réforme.
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