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LUCANIE
bgr_349650.Quadrans, c. 268‑194AC., Thurium,
Lucanie,
(Ae, Ø 15,5 mm, 9 h, 2,77 g). (pd. th. 3,38 g,
4 unciæ).
A/
Même description.
R/
[Q]OURIWN/ Th
. Légende
placée horizontalement au-dessus d’un foudre ailé ;
au-dessous, un monogramme.
Exemplaire sur un petit flan irrégulier bien centré des
deux côtés. Très beau portrait, de style fin. Revers
bien venu à la frappe. Patine marron foncé.
ANS. 1278 (suppl.) - MIAMG. 2888 (325€) -
Cop. 1509 - HN. Italy 1927.
R. TTB+ ������������������������������������������������������� 150 €
Poids léger. Ce type de bronze pourrait corres-
pondre à un quadrans d’étalon semi-oncial.
LUCANIE - VÉLIA -
(440‑400 avant J.‑C.)
bgr_431163.Nomos ou Didrachme, c. 425‑400
C, Vélia, Lucanie,
étalon campanien, 3
e
phase, (Ar,
Ø 22 mm, 9 h, 7,65 g). (pd. th. 8,00 g, 2 drachmes
ou 12 oboles).
A/
Anépigraphe
. Tête d’Athéna à gauche, coiffée
du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné
d’un griffon sur le cimier et une palmette sur le
couvre nuque.
R/
[UELHTWN]
. Lion attaquant un
cerf bondissant à droite.
Exemplaire sur un flan ovale et irrégulier. Belle tête
d’Athéna. Frappe un peu molle au revers. Patine de
collection ancienne. GC.- - BMC.- - MIAMG. 2925
(1000€) - ANS. 1281 - Oxford. 1159 - Williams 220.
R. TB+ ��������������������������������������������������������� 450 €
Même coin de droit que l’exemplaire de l’Ash-
molean Museum n° 1159.
LUCANIE - VÉLIA -
(350‑281 avant J.‑C.)
bgr_350296.Nomos, statère ou didrachme, c.
340‑334 AC., Vélia, Lucanie,
étalon campanien,
groupe V, section 52, (Ar, Ø 22,5 mm, 3 h, 7,46 g).
(pd. th. 8,00 g).
A/
Tête d’Athéna à droite, coiffée du casque attique
à cimier avec triple aigrette, orné d’un griffon.
R/
UELHTWN/ F/ (RQ)
. Lion passant à droite.
Exemplaire sur un flan large et irrégulier bien centré
des deux côtés. Très belle tête d’Athéna au droit
finement détaillé. Joli revers de style fin à l’usure
superficielle. Très belle patine de médaillier avec
des reflets dorés.
BMC. 52 - MIAMG. 2940 - Williams 268 (A/154 -
R/209) (8 ex.) - GC. 460 (175£) - ANS. 13129900 -
Cop. 1551 - HN. Italy 1284.
R. TTB+ ������������������������������������������������������� 980 €
Cet exemplaire provient de la vente d’Aix enchères
du 26 octobre 2007, n° 12 et de la collection
d’Élisabeth.
Très tôt, le monnayage de Vélia a été
décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de
Marseille (LT. 785‑791). Certains l’ont même décrit
comme unmonnayage symmachique : un lion de
Vélia étant l’équivalent de deux lions deMarseille.
Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause, par
G. Depeyrot, non sans arguments, mais avec une
certaine acrimonie. Le lion de Vélia a pu servir de
modèle à celui deMarseille, mais à quelle date ?La
frappe à Vélia commence dans la seconde moitié
duV
e
siècleavantJ.‑C.poursepoursuivrejusqu’en
281 avant J.‑C. À quel moment les Massaliotes
auraient-ils empruntés le lion de Vélia ?
bgr_401874.Nomos, statère ou didrachme,
c. 350/340 - 320/310 AC., Vélia, Lucanie,
étalon campanien, groupe VI, section 63, (Ar,
Ø 21,5 mm, 12 h, 7,37 g). (pd. th. 8,00 g).
A/
Anépigraphe ; monogramme derrière le
casque
. Tête d’Athéna à gauche, coiffée du
casque attique à cimier avec triple aigrette, orné
d’une couronne.
R/
UELHTWN/ (KE)
. ( de Vélia/
Kléodoros). Lion passant à gauche,tournant la
tête à droite, une tête d’animal entre les pattes.
Exemplaire sur un flan ovale, parfaitement
centré des deux côtés. Très belle tête d’Athéna.
Joli revers de style fin. Belle patine de collection
ancienne.
BMC.- - MIAMG. 2958 (R) (900€) - Williams 377
(A/190 - R/ 265 - HN. Italy 1297 - ANS. 1317 -
Cop.-.
RRR. TTB ��������������������������������������������� 1500 €
Cet exemplaire provient du stock de Jean Vin-
chon en 1959.
Poids léger. La série 63 du
classement de Williams qui ne comprend que
deux numéros se caractérise par un mono-
gramme (KE) qui correspond à la signature
du graveur Kléodoros. Cette signature se
retrouve aussi bien au droit qu’au revers de
notre exemplaire. Très tôt, le monnayage
de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la
drachme lourde de Marseille (LT. 785‑791).
Certains l’ont même décrit comme un mon-
nayage symmachique : un lion de Vélia étant
l’équivalent de deux lions de Marseille. Au-
jourd’hui, cette théorie est remise en cause.