7
MONNAIES GRECQUES
MONNAIES GRECQUES
THRACE
CALLATIS - (III e‑ Iersiècle avant J.‑C.)
.Statèred’oraunomd’Alexandre
le Grand, c. 250‑220AC., Callatis, Thrace,étalon
attique,(Or,Ø 17,5 mm,12 h,8,43 g).(pd. th. 8,60 g,
20 drachmes).
A/ Anépigraphe. Tête casquée d’Athéna à droite,
coiffée du casque corinthien à aigrette, orné d’un
serpent ; les cheveux tombant sur la nuque en
mèches mêlées.
R/ ALEXANDROU/ KA/ (DAIU). (d’Alexandre).
Niké debout à gauche, les ailes déployées, tenant
de la main droite une couronne et de la gauche la
stylis ; dans le champ à gauche, deuxmonogrammes.
Exemplaire sur un petit flan, bien centré des deux
côtés. Très beau portrait. Revers de joli style. Une
petite marque sur la tranche à 3 heures.
M.- - MP. 914 var.
RR. SUP 4500 €
Cet exemplaire provient de MONNAIES XXVI,
n° 25 et de la collection d’Élisabeth. Semble
complètement inédit et non répertorié avec ce mo-
nogramme secondaire. Manque à tous les ouvrages
consultés. Ce type semblede la plus grande rareté
et se rapproche du monogramme du tétradrachme
(MP. 929‑930) de la même période.
TOMIS - (IIe‑ Iersiècle avant J.‑C.)
Statère d’or, c. 100‑90 AC.,
Tomis, Mésie Inférieure, étalon attique réduit, (Or,
Ø 19 mm,12 h,8,27 g).(pd. th. 8,40 g,titre 1000 ‰,
2 drachmes d’or ou 12 oboles, 30 drachmes).
A/ Anépigraphe . Tête imberbe d’Alexandre le
Grand sous les traits de Zeus-Ammon, cornu et
diadémé à droite.
R/ BASILEW[S]/ LUSIMCOU/ QEM/ TO. (du roi
Lysimaque). Athéna nicéphore assise à gauche sur
un trône, tenant un petite Niké de la main droite qui
couronne le nom de Lysimaque et le coude gauche
reposant sur un bouclier orné d’un masque de lion ;
dans le champ à gauche, un monogramme, un autre
sur le trône ; un trident tourné à gauche à l’exergue
orné de petits dauphins.
Exemplaire sur un petit flan ovale irrégulier, bien
centré des deux côtés. Petit portrait stylisé, bien venu
à la frappe et de haut relief, légèrement brouillé.Très
joli revers de style fin et de haut relief. Jolie patine
de médaillier.
M. 272 - GC. 1590 var. - HGM. 1 (A/ 2 - R/1a), pl.
XXXVII (2 ex.) - Cop. 1091 - AMNG. 2480.
RR. SUP 2400 €
CetexemplaireprovientdeMONNAIES57,n° 57.
Débutdecassuredecoinperceptibleaudroit,derrière
la tête d’Alexandre le Grand. Frappe posthume
de cité. Même coin de droit que l’exemplaire du
musée Royal de Copenhague (Cop. 1091, François
de Callataÿ, p. 141, pl. XXXVII, D.4-R.2). Mêmes
coins que l’exemplaire de MONNAIES 57, n° 56.
CesstatèresfrappésdanslesateliersdelaMerNoire
sontparfoisdonnésàMithridateVIduPont(120‑63
avant J.‑C.) et auraient été fabriqués au tournant
du Ier siècle avant J.‑C. par les cités avec l’accord
tacite du souverain pontique.
Statère d’or, c. 100‑90 AC.,
Tomis, Mésie Inférieure, étalon attique réduit, (Or,
Ø 19 mm,12 h,8,37 g).(pd. th. 8,40 g,titre 1000 ‰,
2 drachmes d’or ou 12 oboles, 30 drachmes).
A/ Même description.
R/ BASILEWS/ LUSIMCOU/ QEM/ TO . (du roi
Lysimaque). Athéna nicéphore assise à gauche sur
un trône, tenant un petite Niké de la main droite qui
couronne le nom de Lysimaque et le coude gauche
reposant sur un bouclier orné d’un masque de lion ;
dans le champ à gauche, un monogramme, un autre
sur le trône ; un trident tourné à gauche à l’exergue
orné de petits dauphins.
Exemplaire sur un petit flan ovale irrégulier, parfai-
tement centré des deux côtés. Petit portrait stylisé,
bien venu à la frappe et de haut relief, légèrement
brouillé. Très joli revers de style fin et de haut relief.
Jolie patine de médaillier.
M. 272 - GC. 1590 var. - HGM. 1 (A/ 2 - R/1a), pl.
XXXVII (2 ex.) - Cop. 1091 - AMNG. 2480.
RR. SUP 2300 €
CetexemplaireprovientdeMONNAIES57,n° 56.
Débutdecassuredecoinperceptibleaudroit,derrière
la tête d’Alexandre le Grand. Frappe posthume
de cité. Même coin de droit que l’exemplaire du
musée Royal de Copenhague (Cop. 1091, François
de Callataÿ, p. 141, pl. XXXVII, D.4-R.2). Mêmes
coins que l’exemplaire de MONNAIES 57, n° 57.
CesstatèresfrappésdanslesateliersdelaMerNoire
sontparfoisdonnésàMithridateVIduPont(120‑63
avant J.‑C.) et auraient été fabriqués au tournant
du Ier siècle avant J.‑C. par les cités avec l’accord
tacite du souverain pontique.