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INTRODUCTION
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Une petite dizaine d’années plus tard, j’ai repéré un autre exemplaire chez un marchand
parisien, à un prix que je trouvais toutefois prohibitif. Les quelques jours qu’il m’a
fallu pour me convaincre d’y mettre ce prix ont été trop longs, la monnaie ayant trouvé
preneur entre-temps. Enfin, quelques années plus tard, un autre exemplaire est apparu
sur un grand site d’enchères, et donc imaginez mon état d’esprit quand, sur le point
d’enchérir une somme totalement dissuasive quelques minutes avant l’issue des ventes,
ma « box » internet a rebooté, laissant ma première enchère insuffisante pour l’empor-
ter. Ne jamais avoir pu ajouter cette monnaie à ma collection n’est toutefois pas qu’un
mauvais souvenir, car mes recherches acharnées pour la trouver ont fini par « payer »
indirectement, deux mois avant l’arrêt de ma collection : un de mes outils de recherche
m’a alerté sur une 1806K, mais celle-ci s’est avérée être... une 1F, non confirmée dans
le Franc10 ! J’ai pu l’acquérir, ce qui a au moins constitué une consolation. »
Cette « performance » pour les 1/4F ne doit pas masquer celles réalisées pour les autres
valeurs faciales, toutes proches de 90 % de taux de complétude. Si l’on prend l’exemple
des Louis-Philippe (F166 pour les 1/4F, F182 pour les 1/2F et F210 pour les 1F), il ne
manque que 6 exemplaires à la collection E.T. pour les 1/4F, mais aussi seulement 7
pour les 1/2F et 10 pour les 1F. Cette collection est donc d’une grande homogénéité,
tant pour les valeurs faciales que pour les époques.
Comme pour Modernes 30, la 2
e
partie de la vente de cette collection est proposée sous
forme d’une vente à prix marqués, avec une très grande variété de tarifs permettant à
tout collectionneur d’y trouver son intérêt, et pourquoi pas d’acquérir une des 30 mon-
naies de la Collection Idéale proposées.
Une sélection de monnaies en Or complète ce catalogue Modernes 32.
L’équipe
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