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CONSTANTIN I
er
ET SON TEMPS
Centenionalis ou nummus, 326,
Siscia,
22
e
 ém., 4
e
off., (Ae, Ø 18 mm, 12 h, 3,49 g). (pd. th. 3,38 g,
taille 1/96 L., 100 deniers).
A/
Même Description.
R/
SPES REIP-VBLICAE// ●(delta)SIS●
. « Spes Reipu-
blicæ», (L’Espérance du bien public). Spes (l’Espérance) ou
Fausta drapée, debout à gauche, tenant deux enfants dans ses bras.
Exemplaire sur un petit flan épais. Beau portrait. Revers bien
venu à la frappe. Patine marron foncé.
LRBC. 730 - RIC. 205 - C. 15 (3f.) - RC. 3905 var. (45£).
R. TTB+
105 €
Collier de perles autour du cou. Chevelure crantée terminée
par un petit chignon ramené en arrière et tenus par un
minuscule bandeau.
.
Centenionalis ou nummus, 318‑319,
Thessalonique, 4
e
 ém., 1
re
phase, (Ae, Ø 19,5 mm, 6 h,
3,43 g). (pd. th. 3,38 g, taille 1/96 L., 100 deniers).
A/
FAVS-TAN F
. (L).
R/
Anépigraphe/ -|-// -
. Étoile à huit rais dans une couronne
fermée.
Exemplaire sur unflan large et ovale, parfaitement centré des
deux côtés avec les grènetis complets. Magnifique portrait
de Fausta, bien venu à la frappe. Très joli revers de style
fin, de haut relief. Patine vert noir.
C. 25 (100f.) -RIC. 51 (R2) -RC. 3906 (250£) -MRK. 141 /3
(500€).
RR. SUP
750 €
Cet exemplaire provient de la vente SternbergVII, 24‑25
novembre 1977, n° 1058 et de la collection Leo Benz,
Lanz, 20 novembre 2000, n° 548.
Pour ce type, il existe
deux variétés, le premier ne comportant pas de marque
d’atelier. Le second pour la première officine de l’atelier
de Thessalonique est beaucoup plus rare. Exemplaire au
pedigree prestigieux.
FAUSTA - (+326)
Flavia Maxima Fausta - fille de Maximien Hercule femme
de Constantin I
er
, mère de Constantin II, de Constans et de
Constance II - Augusta - (324‑326).
.
Centenionalis ou nummus, 325‑326,
Trèves, 3
e
 ém., 2
e
off., (Ae, Ø 18 mm, 6 h, 3,18 g).
(pd. th. 3,38 g, taille 1/96 L., 100 deniers).
A/
FLAV MAX - FAVSTAAVG
. (L).
R/
SPES REI-PVBLICAE/ -|-// STR(croissant pointé)
.
« Spes Reipublicæ», (L’Espérance du bien public).
Spes (l’Espérance) ou Fausta drapée, debout à gauche,
tenant deux enfants dans ses bras.
Exemplaire sur un petit flan parfaitement centré des deux
côtés avec les grènetis visibles. Portrait inhabituel de toute
beauté comme sortant du flan, empreint de réalisme. Revers
magnifique de haut relief. Fantastique patine grismétallique
avec des reflets dorés. Conserve l’intégralité de son brillant
de frappe et de son coupant d’origine.
C. 15 (3f.) - RIC. 484 - LRBC. 36.
RRR. SPL
380 €
Cet exemplaire provient de la collection P. L.
Avec
l’intégralité de son argenture superficielle. Chevelure tirée
en arrière terminée par unminuscule chignon retenu par
unpetit diadème perlé. Collier de perles et boucles d’oreille.
Semble très rare pour la deuxième officine de l’atelier de
Trèves. Manque à tous les ouvrages consultés. C’est le
deuxième exemplaire signalé.
.
Centenionalisounummus, 325‑326,
Trèves,
3
e
 ém., 1
re
off., (Ae, Ø 19 mm, 12 h, 2,84 g). (pd. th. 3,38 g,
taille 1/96 L., 100 deniers).
A/
Même Description.
R/
SPES REI-PVBLICAE/ -|-// PTR(croissant pointé)
. « Spes
Reipublicæ», (L’Espérance dubienpublic). Spes (l’Espérance) ou
Fausta drapée, debout à gauche, tenant deux enfants dans ses bras.
Exemplaire sur un flan bien centré des deux côtés. Beau portrait
de Fausta. Revers à l’usure régulière. Patine marron foncé,
légèrement granuleuse.
C. 15 (3f.) - RIC. 484 - LRBC. 36.
R. TTB
75 €
Cet exemplaire provient de la vente Hursch de novembre
1987.
Poids léger. Sans argenture. Chevelure tirée en arrière
terminée par unminuscule chignon retenupar unpetit diadème
perlé. Collier de perles et boucles d’oreilles.