LA TÉTRARCHIE brm 972953. Aurelianus, 287, début - été, Lyon , 4e ém. , 3e off., (Bil, Ø 21,5 mm, 12 h, 3,94 g). A/ IMP C VAL MAXIMIANVS P F AVG. (A). R/ HERCVLI PACIFERO/ (gamma)|-// SML. Monnaie centrée. Joli buste, détaillé. Fine usure régulière. Patine grise. B. 135 pl. IX (8 ex.) - RIC. 371 - C. 282 - B. supp. 3/ 135d. RR ������������������������������������������� TTB+ AU 110 € brm 968692. Aurelianus, 289-290, automne 289 - début 290, Lyon , 6e ém. , 2e off., (Bil, Ø 22 mm, 1 h, 3,48 g). A/ IMP C MAXIMIANVS P F AVG. (B01). R/ VICTORIA AVGC/ -|-// S (sic !). Exemplaire sur un flan bien centré à l’usure régulière. Beau portrait. Revers tout à fait exceptionnel dans le monnayage lyonnais. Jolie patine marron foncé. B. 291 pl. XX (12 ex.) - RIC. 430 - C. 540 - B. supp. 3/ 291e, techn. RRR �������������������������� TTB/TTB+ XF/AU 110 € Poids léger. Sans argenture. Rubans de type 3 aux extrémités bouletées. Cuirasse et épaulière cloutées. Ptéryges fines et tombantes. Orientation des coins inhabituelle. Coin arasé au revers sur le deuxième G de AVGG. Même coins que l’exemplaire du Cabinet des médailles de la BnF, n° 13.663, Bastien, n° 291a, pl. XX. Sur cet exemplaire les lettres de MAXIM semblent regravées sur DIOCLET en particulier les trois premières lettres comme le faisait remarquer D. Gricourt dans son magistral article, « Aureliani de l’atelier de Lyon sous l’empereur Dioclétien : enquête et données nouvelles, RBN. CXXX, 1984, loc. cit., p. 98 : »De fait, en reconstituant de la sorte cette légende antérieure, nous pouvons deviner, sinon reconnaître, respectivement le E de DIOCLETIANVS sous la première partie du 1er M de MAXIMIANVS, le I repris par le dernier jambage de cette lettre M, le O sous le 1er A, le C sous le X, le L habilement transformé en I, le E sous la première moitié du deuxième M et le T sous la seconde fraction de cette même lettre. Nous pouvons reconstituer, sans grand risque d’erreur d’interprétation, semble-t-il, le processus qui a abouti à un tel résultat. Comme ce doit être usuellement le cas, dans un premier temps, le scalptor grave sur le coin un portrait, ici de Maximien. Le signator, dans un second temps, poinçonne une titulature, ici de Dioclétien, autour de l’effigie impériale. Dans un troisième temps, la faute est remarquée par l’un des ouvriers en question (le signator lui-même ? le scalptor ?) ou, plus vraisemblablement, par un fonctionnaire de l’autorité impériale chargé de surveiller le déroulement correct des émissions de l’atelier. Dans un quatrième et dernier temps, l’erreur est rectifiée et, pour le cas qui nous concerne, de façon judicieuse et très habile”. Pour ce type, seuls sont connus des aureliani de Maximien Hercule, mais des types pour Dioclétien ont peut-être été prévus et restent toujours à découvrir aujourd’hui. brm 982951. Aurelianus, 290-291, printemps 290-291, Lyon , 7e ém. , 2e off., (Bil, Ø 22 mm, 1 h, 3,43 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG. (E1). R/ PAX - A-VGG/ -|-// B. Flan bien centré. Très joli droit finement détaillé. Une cassure de coin au niveau de Minerve au revers. Patine marron. B. 382 pl. XXVII (1 ex.) - C.- - RIC.- - B. supp 3/ 382e. RRR ����������������������������������������TTB+ AU 350 € Il est parfois difficile de distinguer le buste E et le buste E1. Ils se différencient par un sceptre pour le premier et une haste sur l’épaule pour le second. Ce type de buste est l’un des plus rares du monnayage lyonnais. brm 949542. Aurelianus, 290-291, printemps 290 - 291, Lyon , 7e ém. , 3e off., (Bil, Ø 22,5 mm, 1 h, 4,26 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG. (H2). R/ SALVS - AVGG/ -|- // C. Superbe exemplaire sur un flan épais, centré des deux côtés. Joli buste finement détaillé. Patine foncée. B. 416 pl. XXVIII (46 ex.) - RIC. 422 - C. 524. �������������������������������������������������SUP AU 200 € brm 964422. Aurelianus, 293, 1er mars - 20 novembre, Lyon , 10e ém., phase 3e , 3e off., (Bil, Ø 22 mm, 12 h, 3,59 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG. (H2). R/ VO-TI-S X/ -|-// C. Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan large et ovale bien centré des deux côtés. Très beau buste consulaire de Maximien Hercule. Joli revers inhabituel. Patine grise avec des reflets dorés. Conserve la plus grande partie de son brillant de frappe et de son coupant d’origine. B. 525 pl. XXXVIII (7 ex.) - RIC.- - C. 670 - B. supp 3/ 525e. RR ���������������������������������������������SPL MS 220 € Avec l’intégralité de son argenture superficielle. Manteau consulaire richement ornementé avec la toga picta et la toga palmata. Sur cet exemplaire, au revers, les deux augustes tiennent chacun un sceptre court et une patère. C’est la deuxième fois que nous présentons ce type pour la troisième officine de l’atelier de Lyon. Mêmes coins que l’exemplaire de l’Ashmolean Museum d’Oxford (B. 525b, pl. XXXVIII). C’est le neuvième exemplaire recensé. Prendra le numéro 525e dans le Supplément III du Bastien. 194
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