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249 LA TÉTRARCHIE brm_547238. Aurelianus,290‑291,printemps 290‑291, Lyon , 7 e  ém., 1 re  off., (Bil, Ø 23 mm, 12 h, 3,41 g). A/ IMP MAXIMIANVS - AVG . (E1) R/ IOVI - AVGG/ -|-// A . Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan large parfaitement centré des deux côtés avec les grènetis complets. Buste militairedeMaximienHerculedetoutebeauté.Revers fantastique où tous les détails de la musculature de Jupiter sont visibles. Jolie patine gris métallique avec des reflets dorés. Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de son coupant d’origine. B. 333 pl. XXIII-XXIV(2 ex.) - RIC.- - C.- - ROME 1/- - B. supp 2/- - ROME 1/- - Compas- - B. supp 3/ 333d. RRR. SPL MS 380 € Cet exemplaire provient de la collection Philippe Lacoste. Poids léger. Avec l’intégralité de son argenture. Casque décoré avec un couvre nuque ornementé. Cuirasse cloutée. Bouclier festonné et clouté. Mêmes coins que l’exemplaire du trésor de Thibouville n° 2864, Bastien n° 333b, pl. XXIV et que l’exemplaire de la collection Daniel Compas, MONNAIES XXVII, n° 219. C’est le quatrième exemplaire publié avec deux coins de droit et deux coins de revers. Prendra le n° 333d dans le Supplément III du Bastien. brm_547239. Aurelianus,290‑291,printemps 290‑291, Lyon , 7 e  ém., 2 e  off., (Bil, Ø 23 mm, 12 h, 3,54 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG . (H) R/ PAX - A-VGG/ -|-// B . Exemplaire de qualité exceptionnelle sur un flan très large et irrégulier parfaitement centré des deux côtés avec les grènetis complets. Portrait de Maximien Hercule inhabituel de toute beauté. Revers fantastique de haut relief, finement détaillé. Très jolie patine gris métallique avec des reflets dorés. Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de son coupant d’origine. B. 385 pl.XXVIII(7ex.) -RIC. 399 -C. 440 -B.supp 1/- -B. supp 2/- - ROME 1/- - Compas 233. RR. FDC MS 315 € Cet exemplaire provient de la collection Philippe Lacoste. Avec l’intégralité de son argenture super- ficielle. Rubans de type 3 avec extrémités bouletées. Manteau consulaire richement décoré avec la toga picta et la toga palmata. Semble de même coin de droit que l’exemplaire duKunsthistorishesMuseen de Vienne (B. 385d, pl. XXVIII). brm_152910. Aurelianus, 290‑291, printemps 290‑291, Lyon , 7 e  ém., 2 e  off., (Bil,Ø 22,5 mm,6 h,3,78 g). A/ IMPMAXIMIANVS AVG . (H3) R/ PAX -A-VGG/ -|-// B . Flan irrégulier, maisbiencentré.Portraitexceptionneldetoutebeauté. Frappe molle et faible au revers. Patine grise avec des reflets métalliques dorés. Pièce ayant conservé son brillant de frappe au droit. B. 388 pl. XXVIII (5ex.) -RIC. 399 -C. 441 -ROME1/- -Compas 236 (cet ex.) - B. supp 3/ 388 e. RRR. SUP/ TB+ AU/VF 195 € Cet exemplaire provient de la trouvaille n° 1 et de lacollectionDanielCompas,MONNAIESXXVII, n° 236. Avectoutesonargenture.Larobeconsulaire est richement décorée. Malgré la rareté évidente du type de buste (H3), nous n’avons relevé aucune liaisondecoinpertinente.Pourcetype,nousaurions donc cinq coins de droit et cinq coins de revers pour cinqexemplaires.Cetexemplaireprendralenuméro 388 e dans le Supplément III du Bastien. brm_173878. Aurelianus,290‑291,printemps 290‑291, Lyon , 7 e  ém., 1 e  off., (Bil, Ø 23 mm, 1 h, 3,84 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG . (B01) R/ IOVI - AVGG/ -|-// A . Aurelianus de qualité exceptionnelle pour ce type de monnayage. Portrait de haut relief taillé à la serpe. Revers de toute beauté. Patine avec des reflets mordorés. A conservé son brillant de frappe et son coupant d’origine. B. 331 pl. XXIII (9 ex.) - RIC. 384 - C. 313 - ROME 1/66 - Compas 217 - B. supp 3/ 331 e techn. RRR. FDC MS 195 € Cet exemplaire provient de la trouvaille n° 1. Avec l’intégralité de son argenture. Rubans de type 3. Cuirasse lisse. Épaulière cloutée. Ptéryges fines. Orientation des coins inhabituelle. Nous n’avons relevé aucune liaison de coin pertinente. Sur notre exemplaire, malgré l’état de conservation exceptionnel, la légende semble brouillée. Sous les premièreslettresdeMAXIMIANVS,noussemblons apercevoir en faisant jouer en lumière rasante et à grossissement x 10 les restes des lettres DIO[CL] E. La gravure des deux M est particulièrement « bizarre ». De tels cas de regravure de légende ont déjà largement été signalés et commentés (cf. Daniel Gricourt, Aureliani de l’atelier de Lyon sous l’empereur Dioclétien : enquête et données nouvelles, RBN., CXXX, 1984, p. 68 n° 8, pl. III et surtout III question d’épigraphie et d’iconographie monétaires, p. 97‑99). Prendra le numéro 331 e techn. dans le Supplément III. En fait tous les exemplaires que nous avons examiné semblent présenter la même anomalie.

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