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LA TÉTRARCHIE 156 brm_505227. Aurelianus,printemps290 -291, Lyon , 7 e  ém., 3 e  off., (Bil, Ø 21 mm, 6 h, 3,48 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG . (C01) R/ SALVS - AVG●G●/ -|-//C .Exemplairedequalitéexceptionnelle sur un flan ovale bien centré des deux côtés avec les grènetisvisibles.TrèsbeaubustedeMaximienHercule casqué. Revers de haut relief, finement détaillé. Très belle patine gris métallique avec des reflets dorés. Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de son coupant d’origine. B. 411 pl. XXX (5 ex.) - RIC. 422 - C. 517 - ROME 1/- - Compas 246 - B. supp 3/ 411d. RRR. SPL MS 190 € Cet exemplaire provient de la collection Philippe Lacoste. Poids léger. Avec l’intégralité de son argenturesuperficielle.Casquelisse ;couvrenuque ornementé. Cuirasse et épaulière cloutées. Ptéryges fines et tombantes. brm_487867. Aurelianus, 290‑291, printemps 290‑291 ,Lyon,7 e  ém.,2 e  off.,(Bil,Ø 21,5 mm,6 h,4,06 g). A/ IMPMAXIMIANVSAVG .(H1) R/ PAX -A-VGG/ -|-// B . Exemplaire sur un flan ovale bien centré des deux côtés aveclesgrènetisvisibles.Beauportraitconsulaireinhabituel deMaximienHercule.Frappeunpeumolleaurevers.Patine marron avec des reflets métalliques. Conserve au droit la plusgrandepartiedesonbrillantdefrappeetdesoncoupant d’origine. B. 386 pl. XXVIII (12 ex.) - RIC. 399 - C. 443 - ROME 1/81 - Compas 234. R. SPL/ SUP MS/AU 150 € Cet exemplaire provient de la collection L. P. Avec son argenture superficielle. Rubans de type 3 aux extrémités bouletées. Robe consulaire richement décorée avec la toga picta et la toga palmata, l’épaule ornée d’une frise décorative. Malgré la rareté de ce type, nous n’avons relevé aucune liaison de coin pertinente. brm_505225. Aurelianus,290‑291,printemps 290‑291, Lyon , 7 e  ém., 2 e  off., (Bil, Ø 21 mm, 12 h, 3,41 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG . (H2) R/ PAX -A-VGG/ -|-//B .Exemplairesurunflanovale etirrégulierbiencentréaveclesgrènetisvisibles.Très beau buste. Revers de haut relief, finement détaillé. Jolie patine gris foncé avec des reflets mordorés. Conserve l’intégralité de son brillant de frappe et de son coupant d’origine. B. 387 (46 ex.) - RIC. 399 - C. 442 (1f.) - ROME 1/82 - Compas 235. RR. SPl MS 120 € Cet exemplaire provient de la collection L. P. Avec l’intégralité de son argenture superficielle. Rubans de type 3. Manteau consulaire richement décoré avec la toga picta et la toga palmata. Cet exemplaire présente un cas intéressant de retouche de légende avec les lettres DIOCLET sousMAXIM. Ces cas de modifications de légende sans être courant se rencontrent quand on y prête attention. Daniel Gricourt, Aureliani de l’atelier de Lyon sous l’empereur Dioclétien : enquête et données nouvelles, RBN. CXXX, 1984, p. 68, n° 8, pl. III signalait un cas similaire pour la septième émission et fournissait quelques hypothèses de travail, RBN 1984,op.cit.,p.97‑99dans«Questionsd’épigraphie et d’iconographie monétaires ». brm_289655. Aurelianus, 293, 1 er mars - 20 novembre, Lyon , 10 e  ém., phase 2 e , 4 e  off., (Bil, Ø 22,5 mm, 6 h, 3,45 g). A/ IMP MAXIMIANVS AVG . (E1) R/ PAX - A-VGG/ -|-// . Exemplaire sur un flan ovale, parfaitement centré des deux côtés. Portrait tout à fait extraordinaire avec un usure superficielle. Faiblesse de frappe sur la cuirasse et le bouclier.Reversde jolistyle,mais légèrement tachéà lafrappeunpeubrouillée.Patinegrismétalliqueavec des reflets marron glacé. Conserve une partie de son brillant de frappe. B.- - RIC.- - C.- - B. supp 1/- - B. supp 2/- - - ROME 1/- - B. supp 3/ 520 var. RRR. TTB+ AU 450 € Cet exemplaire provient de MONNAIES 41, n° 1104. Poids léger.Avec l’intégralitédesonargen- turesuperficielle.Ilestparfoisdifficilededistinguer le buste E et le buste E1 qui se différencient par un sceptre pour le premier et une haste sur l’épaule pour le second. Casque festonné et décoré. Couvre nuque orné d’une croisette globulée en cœur et cantonnée de quatre globules. Cuirasse cloutée. Bouclier avec la bordure décorée et Umbo central. Nous n’avons pas relevé de liaison de coin de droit pour ce type de buste qui est l’un des plus rares du monnayage lyonnais. Mais le plus fantastique, c’est la découverte de la quatrième officine pour la dixième émission pour laquelle n’était recensée que les trois premières officines (lettres grecques, alpha, bêta et gamma). Avec le delta à l’exergue, c’est peut-être l’une des plus grandes découvertes pour le monnayage lyonnais des vingt dernières années.Cetypemanqueàtouslesouvragesetsemble complètementinéditetnonpublié.Seraintégrédans le Supplément III du Bastien après le numéro 520.

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