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LUCANIE VÉLIA - (440‑400 avant J.‑C.) bgr 548005. Nomos, statère ou didrachme, c. 400-365 AC., Lucanie, Vélia, étalon campanien, 49 e ém., groupe VI, (Ar, Ø 22 mm, 1 h, 7,52 g). (pd. th. 8,00 g, 2 drachmes ou 12 oboles). A/ Anépigraphe. Tête d’Athéna à gauche, coiffée du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné d’un griffon. R/ UELHTWN. (de Vélia). Lion passant à droite surmonté d’une chouette volant à droite, les ailes ouvertes. Exemplaire sur un flan bien centré des deux côtés. Usure régulière. Beau portrait d’Athéna. Patine grise de collection. BMC.- - MIAMG. 2930 (R) (900€) - Williams 245 pl. XIV (A/145 - R/ 190) (5 ex.) - GC.- - ANS. 1288 - P.- - HN. Italy 1298 - Cop.- - Oxford. 1178. �� RR �� TTB XF 450 € Très tôt, le monnayage de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de Mar- seille (LT. 785-791). Certains l’ont même décrit comme un monnayage symmachique : un lion de Vélia étant l’équivalent de deux lions de Marseille. Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause par G. Depeyrot, non sans arguments, mais avec une certaine acrimonie. Le lion de Vélia a pu servir de modèle à celui de Marseille, mais à quelle date ? La frappe à Vélia commence dans la seconde moitié du V e siècle avant J.-C. pour se poursuivre jusqu’en 281 avant J.-C. À quel moment les Mas- saliotes auraient-ils empruntés le lion de Vélia ? VÉLIA - (350‑281 avant J.‑C.) bgr 461717. Nomos, statère ou didrachme, c. 340-334 AC., Vélia, étalon campanien, 80 e ém., (Ar, Ø 22 mm, 6 h, 7,31 g). (pd. th. 8,00 g, 2 drachmes ou 12 oboles). A/ Tête d’Athéna à gauche, coiffée du casque atti- que à cimier avec triple aigrette, orné d’un griffon. R/ UELHTWN/ C. (de Vélia). Lion passant à droite ; caducée tourné à droite, au-dessus. Exemplaire sur un flan ovale et irrégulier bien centré des deux côtés avec le grènetis visible au revers. Usure importante, mais parfaitement lisible et iden- tifiable. Lion élégant. Patine de collection avec des reflets dorés. BMC.- - MIAMG. 2936 (R) (1000€) - Williams - HN. Italy 1284 - ANS. 1293 - Oxford.-. �� R �� TB+ VF 420 € Cet exemplaire a été acquis en juin 1994 et provient de Conseils Placements. Très tôt, le monnayage de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de Marseille (LT. 785-791). Certains l’ont même décrit comme un monnayage symmachique : un lion de Vélia étant l’équivalent de deux lions de Marseille. Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause, par G. Depeyrot, non sans arguments, mais avec une certaine acrimonie. Le lion de Vélia a pu servir de modèle à celui de Marseille, mais à quelle date ? La frappe à Vélia commence dans la seconde moitié du V e siècle avant J.-C. pour se poursuivre jusqu’en 281 avant J.-C. À quel moment les Massa- liotes auraient-ils emprunté le lion de Vélia ? bgr 564073. Nomos, statère ou didrachme, c. 340-334 AC., Vélia, Lucanie, étalon campanien, groupe V, section 52, (Ar, Ø 22 mm, 9 h, 7,60 g). (pd. th. 8,00 g). A/ Tête d’Athéna à droite, coiffée du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné d’un griffon. R/ UEL- HTWN/ E/ Q. Lion passant à droite. Bel exemplaire sur un flan ovale et bien centré des deux côtés. Très belle d’Athéna de beau style ainsi qu’un agréable revers. Patine grise. BMC. 52 - MIAMG. 2940 - Wil- liams 268 (A/154 - R/209) (8 ex.) - GC. 460 (175£) - ANS. 13129900 - Cop. 1551 - HN. Italy 1284. �� R �� SUP AU 750 € Très tôt, le monnayage de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de Mar- seille (LT. 785-791). Certains l’ont même décrit comme un monnayage symmachique : un lion de Vélia étant l’équivalent de deux lions de Marseille. Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause, par G. Depeyrot, non sans arguments, mais avec une certaine acrimonie. Le lion de Vélia a pu servir de modèle à celui de Marseille, mais à quelle date ? La frappe à Vélia commence dans la seconde moitié du V e siècle avant J.-C. pour se poursuivre jusqu’en 281 avant J.-C. À quel moment les Mas- saliotes auraient-ils empruntés le lion de Vélia ? 401874 16