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MONNAIES GAULOISES 89 bga_465725. Potin, type RN. 1837, pl. VII, n° 11-12, (Pot, Ø 18,5 mm, 3,22 g). Bel exemplaire pour ce type rare, avec des contours assez irréguliers. Agréable patine brune et orangée. LT.manque - DT. 3500 - PK. 196 - Sch/L.- - Sch/D.- - RN. 1837, pl. VII, n° 11-12 - MONNAIES XXV, n° 636 - PC 13.02. RRR. TTB XF ����������������������������������������������� 280 € Lespotinsdecetteraresériemanquentàtouslesmusées consultésetnepassentqu’exceptionnellementenvente. Un des derniers passés en vente a été vendu 426 euros. BITURIGES CUBES / CENTRE-OUEST, incertaines bga_225870. Bronze ROAC, DT. 3716 et 2613, (Ae, Ø 17 mm, 7 h, 3,12 g). Bronze de qualité, avec une belle tête particulièrement bien venue. Le revers est complet, mais il a malheureusement une oxydation au-dessus du cheval. Patine brune et homogène, sauf au niveau de l’oxydation du revers. LT.manque - DT. 2613 - RIG. 335 - Barthélemy 1873, Etude sur des monnaies gauloises trouvées en Poitou et en Saintonge. MSAO p. 493, n° 34. RR. TTB+ /TTB AU/XF ������������������������������������������ 240 € Ce bronze est rare et sous documenté ; deux monnaies du Nouvel Atlas y correspondent, l’une dans le tome II et l’autredansletomeIII(DT.2613et3716),cequimontrenos incertitudes quant à ce bronze. L’exemplaire proposé ici est anépigraphe, comme presque tous les exemplaires connus. Les auteurs du Nouvel Atlas signalent les monnaies BN. 4373-75 et 4380-81, ainsi que le n° 425 deMONNAIES XV. bga_424266. Potin au corbeau, (Ae, Ø 17 mm, 11 h, 2,42 g). Rare potin avec des types complets sur un flan irrégulier. Patine sombre et brillante. LT.manque - DT. 2675 - BN.manque - PK. 60 - Sch/ SM. 424 - RN 1837, pl. VII, n° 13 - PC. 11.04. RRR. TTB+ AU �������������������������������������������� 350 € Cet exemplaire provient de la collectionM. S. et pré- cédemment de la collection d’un notable clermontois qui avait noté les provenances de sesmonnaies surun registre manuscrit ; ce potin provient des environs de Bourges (18). Bien que peu d’exemplaires aient été publiés,ilsembleraitquecepotincirculeprincipalement autour de chez les Bituriges. Les auteurs du Nouvel Atlas le classent dans le groupe des « potins de la Loire moyenne ». (cf. MONNAIES XV, page 106 pour la première publication de ce potin en 1837). bga_301261. Potin au corbeau, (Ae, Ø 17,5 mm, 12 h, 2,64 g). Bel exemplaire complet bien qu’un peu plus mou au revers. Agréable patine vert sombre et un peu poreuse. LT.manque - DT. 2675 - BN.manque - PK. 60 - Sch/ SM. 424 - RN 1837, pl. VII, n° 13 - MONNAIES XVIII, n° 914 - PC. 11.04. RRR. TTB /TB XF/VF ���������������������������������� 280 € Bien que peu d’exemplaires aient été publiés, il semblerait que ce potin circule principalement autour de chez les Bituriges. Les auteurs du Nouvel Atlas le classent dans le groupe des « potins de la Loire moyenne ». Mélanges LPD - trésor de Brionne (Eure) n° 67-71. (cf. MONNAIES XV, page 106 pour la première publication de ce potin en 1837). bga_382318. Bronze au loup et au pégase, à l’M, (Ae, Ø 17,5 mm, 5 h, 2,75 g). Flan un peu irrégulier mais avec des types de droit et de revers presque complets. Patine vert foncé. LT.manque - DT. 3492 - ABT. 442 var. - Z. 473-475 var. - Sch/L. 636-645 var. - RN. 1837, pl. VII, n° 3 - Lelewel Atlas, 1840, pl. VII, n° 64 - Lambert I, 1864, pl. V, n° 1. RR. TTB+ /TTB AU/XF ������������������������������������������ 220 € Le symbole sous le cheval n’est pas une M, mais plutôt une sorte de A ou un L grec ? Le loup tire très clairement la langue au droit. bga_424014. Drachme aux lignes entremêlées, (Ar, Ø 17,5 mm, 3,45 g). Drachme intéressante, avec de grosses lignes au droit mais avec un revers très confus à peine identifiable. Patine grise. LT.manque - DT.manque , cf. série 1244 - BN.- - Z.- - Sch/L.- - Moneta manque. RRR. TTB /B+ XF/F ������������������������������������� 350 € Les drachmes dites aux lignes entremêlées étaient encore il n’y a pas si longtemps complètement inconnues… Elles sont classées par facilité dans le type Vde la série 1244 « types composites (or et argent) » du Nouvel Atlas. L’avers est interprété comme dérivant de Rhoda.