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Bulletin Numismatique n°242 19 drachmen-prägung von Tarent 510-80 v. Chr., en 1999 ou bien ceux plus génériques de N. Rutter, Historia Nummorum, I Italy en 2001. Le catalogue débute à la page 41jusqu’à la page 358 et comprend les monnaies des séries XLI à XLVI. Il reprend exactement là, où le volume 2 de la série s’était interrompu. Pour chacune des six séries, nous trouvons une introduction bilingue et le catalogue des types dont vous nous donnons sous forme de liste la description qui serait encore une fois indigeste et illisible en mode texte Série XLI (281-276 BC) : p. 41- 54 / 55-68 et 69-110, n° 971-1137). Série XLII (276-272 BC) : p. 111-127 / 128-143 et 144-189, n° 1138-1313). Série XLIII (272-240/235 BC) : p. 190-194 / 195-199 et 200-207, n° 1314-1342) Série XLIV (272-240/235 BC) : p. 208-225 / 226-241 et 242-310, n° 1343-1627). Série XLV (240/235-212 BC) : p. 311-318 / 319-326 et 327351, n° 1628-1725). Série XLVI (212-209 BC) : p. 352-353 / 354-355 et 356358, n° 1726-1732). L’ouvrage débute au moment de l’intervention de Pyrrhus, roi d’Épire en Italie du sud en 281 avant J.-C (série XLI). La série XLII débute avant la défaite de Bénévent (275 avant J.- C.) qui met fin à l’intervention épirote et se termine en 272 avant J.-C., où Tarente vaincue signe la paix avec Rome. Cette période correspond aussi à la réduction pondérale de l’étalon italo-tarentin. De nombreuses monnaies d’or, statères et divisions, sont frappées pendant cette période pour les deux séries. La série XLIII ne comporte que les monnaies de type campano-tarentin et ne comprend que des statères (nomoi). La série XLIV, qui est la plus importante avec les statères et ses divisions, ne comporte plus de monnaies d’or et c’est en général le monnayage que nous rencontrons le plus souvent dans nos catalogues. L’avant-dernière série du monnayage tarentin court entre le moment où Tarente est sous la protection romaine et dure jusqu’au moment où la cité rejoint l’alliance carthaginoise. La dernière série du monnayage tarentin est marquée par l’occupation carthaginoise accompagnée d’une nouvelle réduction pondérale drastique du monnayage d’argent. Chaque entrée du catalogue est assortie d’une photo à l’échelle 1 du droit et du revers de la monnaie, de sa dénomination, de sa description du droit et du revers, de son étendue pondérale, de son diamètre et d’un indice de rareté, complété par de très nombreuses références bibliographiques de catalogues et de Sylloge. Une imposante bibliographie vient compléter l’ouvrage (p. 359-369 avec un index sources, p. 368-369). L’index des illustrations (p. 370-392) fournit la liste de plus de 1 000 références et provenances des monnaies. L’ouvrage est complété par une liste de remerciements des institutions et chercheurs sollicités. Le second ouvrage est plus modeste (124 pages) mais pas moins intéressant puisqu’il publie l’inventaire des monnaies conservées au musée national archéologique de Naples, réparties sur dix séries (de C à N). La table des matières (p. 5) précède une introduction de F. Miele, du musée de Naples (p. 6-8 et 9-11) suivie d’une préface de G. Sarcinelli, éditeur de la série monnaies de Grande Grèce (p. 12-13 et 14-15) bilingue anglais-italien comme pour les autres volumes de la série. L’ouvrage débute par une étude très complète sur les dioboles avec la légende ΑΡΠΑ - CEPT (p. 16-40 et 41-64). Elle comprend une étude de coins avec 3 séries réparties sur 5 groupes avec 38 exemplaires, 18 coins de droit et 21 coins de revers, toutes illustrées. La seconde partie de l’ouvrage est réservée aux dioboles conservées au musée de Naples. Nous avons en premier lieu une présentation historique de la collection napolitaine qui comprend au total plus de 150 000 monnaies (p. 65-67 et 68-70). Sont ensuite abordées les différents séries de dioboles de Tarente (p. 71-74 et 75-78). Nous découvrons ensuite le catalogue où toutes les monnaies sont agrandies à l’échelle 2 (p. 79-110), et dont voici un inventaire sommaire : C (2 ex.) ; D (8 ex.) ; E (26 ex.) ; F (32 ex.) ; G (29 ex.) ; H (29 ex) ; I (11 ex.) ; K (3 ex.) ; M (1 ex.) ; N (25 ex.) soit 166 exemplaires au total. Aux pages 113-123, le lecteur trouvera la bibliographie, complétée à la dernière page (124) d’un index des illustrations. Laurent SCHMITT (ADR 007) * Les monnaies illustrées sont à la vente sur la boutique GRECQUES Cgb.fr. LE COIN DU LIBRAIRE, THE COINS OF TARENTUM

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