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Bulletin Numismatique n°233 21 Pour chacune des quatorze séries, nous trouvons une introduction bilingue et le catalogue des types dont nous vous donnons sous forme de liste la description qui serait autrement indigeste et illisible en mode texte ! Série XXVII (350-345 a. C.) : p. 37-50, n° 511-520. Série XXVIII (344-340 a. C.) : p. 46-63, n° 521-544. Série XXIX (340-335 a. C.) : p. 64-85, n° 545-585. Série XXX (335-333 a. C.) : p. 86-104, n° 586-626. Série XXXI (333-332 a. C.) : p. 105-115, n° 627-641. Série XXXII (33-331/330 a. C.) : p. 116-163, n° 642-727. Série XXXIII (330-325 a. C.) : p. 164-172, n° 728-739. Série XXXIV (c. 320 a. C.) : p. 173-182, n° 740-749. Série XXXV (c. 320-315 a. C.) : p. 183-196, n° 750-772. Série XXXVI (c. 315 a. C.) : p. 197-200, n° 773. Série XXXVII (c. 315-302 a.c.) : p. 201-239, n° 774-831. Série XXXVIII (c. 320 a. C.) : p. 240-248, n° 832-841. Série XXXIX (c. 302-290 a. C.) : p. 249-273, n° 842-899. Série XL (c. 290-281 a. C.) : p. 274-310, n° 900-970. Le catalogue, outre les dénominations déjà envisagées dans le premier volume, s’enrichit de l’introduction des monnaies d’or à partir de la série XXXI (333-332 BC) avec l’intervention d’Alexandre le Molosse dans les affaires tarentines. Un rare monnayage de bronze fait aussi une timide apparition à partir de ce même groupe XXXI. Si ce sont les nomoi (statères) qui occupent encore la plus grande partie de l’ouvrage. Les monnaies divisionnaires ne sont pas en reste avec une place de plus en plus importante, des dioboles, oboles ou hemioboles alors que l’usage de la litra tend à disparaître au cours de la période. L’ensemble des types monétaires est photographié à l’échelle 1, parfois accompagnés d’agrandissements pour les plus petites divisionnaires. La qualité des clichés est bonne, même pour les plus petites dénominations monétaires. Chaque type fait l’objet d’une description précise et détaillée. Les spécificités de métal, de masse, de taille sont indiquées complétées par un indice de rareté. Un important appareil bibliographique enrichit l’ensemble, tenant compte des trésors et des publications les plus récentes, parfois difficiles à consulter, très complet, avec de nombreuses études italiennes (p. 311-320) complété des sources antiques (p. 321-322). L’index des illustrations (p. 323-335) comporte l’ensemble des références photographiques des n° 511 à 970 avec plus de 500 pièces illustrées. Une table des remerciements clôt l’ouvrage (p. 336337). Si vous vous intéressez au monnayage de Tarente, ce livre doit absolument figurer dans votre bibliothèque en attendant la parution prochaine du pénultième volume de la série, sans oublier de vous procurer rapidement le premier ouvrage de la série et son indispensable complément consacré uniquement aux dioboles. Il est encore facile de débuter une collection consacrée au monnayage de Tarente en dehors des monnaies d’or, même pour les statères, et encore plus facile pour les monnaies divisionnaires, moins prisées et donc moins chères, mais tout aussi rares, voire beaucoup plus. À vous de jouer ! Laurent SCHMITT (ADR 007) * Toutes les monnaies photographiées sont en vente sur la boutique Cgb.fr LE COIN DU LIBRAIRE THE COINS OF TARENTUM Ls17 : 140€ Lh81:65€ Ld182 : 70€ Lc220 : 100€

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