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13 LUCANIE THURIUM - (268‑194 avant J.‑C.) bgr_427257. Quadrans, c. 268-194 AC., Thurium, Lucanie, (Ae, Ø 16,5 mm, 12 h, 2,92 g). (pd. th. 3,38 g, 4 unciæ). A/ Anépigraphe . Tête d’Apollon laurée à gauche avec les mèches de cheveux tombant sur la nuque. R/ QOURIWN/ Th . Légende placée horizontalement au-dessus d’un foudre ailé ; au-dessous, un monogramme. Exemplaire de qualité exceptionnelle pour ce type de monnayage sur un petit flan parfaitement centré. Très belle tête d’Apollon. Revers particulièrement bine venu à la frappe, finement détaillé. Belle patine vert foncé. ANS. 1278 (suppl.) - MIAMG. 2888 (325€) - Cop. 1509 - HN. Italy 1927. R. SUP ��������������������������������������������������������������� 250 € Poids léger. Ce type de bronze pourrait correspondre à un quadrans d’étalon semi-oncial. VÉLIA - (350‑281 avant J.‑C.) bgr_453207. Nomos, statère ou didrachme, c. 365- 350/340AC., Vélia, Lucanie, étalon campanien, groupe V, série 55, (Ar, Ø 22 mm, 9 h, 7,59 g). (pd. th. 8,00 g). A/ Anépigraphe . Tête d’Athéna à droite, coiffée du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné d’un griffon. R/ [UELH]TWN/ F . Lion passant à droite. Exemplaire sur un flan ovale, bien centré au droit avec une importante cassure de coin dans le casque d’Athéna, décentré au revers sur l’arrière train du lion. Patine grise superficielle. BMC. 59 - MIAMG. 2939 var. - Williams 296 (A/164-R/228), pl. 17 - HN. Italy 1284. R. TTB ��������������������������������������������������������������� 280 € Cet exemplaire provient du stock d’Hubert Lanz et de la collection Laurent F. Mêmes coins que les exemplaires du British Museum. Importante cassure de coin au droit dans le casque et au revers sur l’exergue et la légende. bgr_401874. Nomos, statère ou didrachme, c. 350/340 - 320/310 AC., Vélia, Lucanie, étalon campanien, groupe VI, section 63, (Ar, Ø 21,5 mm, 12 h, 7,37 g). (pd. th. 8,00 g). A/ Anépigraphe ; monogramme derrière le casque . Tête d’Athéna à gauche, coiffée du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné d’une couronne. R/ UELHTWN/ (KE) . ( de Vélia/ Kléodoros). Lion passant à gauche,tournant la tête à droite, une tête d’animal entre les pattes. Exemplaire sur un flan ovale, parfaitement centré des deux côtés. Très belle tête d’Athéna. Joli revers de style fin. Belle patine de collection ancienne. BMC.- - MIAMG. 2958 (R) (900€) - Williams 377 (A/190 - R/ 265 - HN. Italy 1297 -ANS. 1317 - Cop.-. RRR. TTB ��������������������������������������������������� 1500 € Cet exemplaire provient du stock de Jean Vin- chon en 1959. Poids léger. La série 63 du clas- sement de Williams qui ne comprend que deux numéros se caractérise par un monogramme (KE) qui correspond à la signature du graveur Kléodoros. Cette signature se retrouve aussi bien au droit qu’au revers de notre exemplaire. Très tôt, le monnayage de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de Marseille (LT. 785-791). Certains l’ont même décrit comme un monnayage symmachique : un lion de Vélia étant l’équivalent de deux lions de Marseille. Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause. bgr_453221. Nomos, statère ou didrachme, c. 305/304-293/290 AC., Vélia, Lucanie, étalon cam- panien, émission VII, section 77, (Ar, Ø 25 mm, 3 h, 7,38 g). (pd. th. 8,00 g, 2 drachmes ou 12 oboles). A/ Tête d’Athéna à droite, coiffée du casque attique à cimier avec triple aigrette, orné d’une couronne d’olivier. R/ UELHTWN/ N . Lion passant à droite ; thyrse à l’exergue. Exemplaire sur un flan large et ovale, bien centré avec une tête d’Athéna à l’usure régulière. Joli re- vers bien venu à la frappe. Belle patine de collection ancienne. BMC.- - MIAMG. 2984 ((R) 1000€) - Wil- liams 393 - GC.- - ANS. 1352 - P.- - HN. Italy 1300. RR. TTB ������������������������������������������������������� 520 € Cet exemplaire provient du stock de Roma Numismatics et de la collection Laurent F. Très tôt, le monnayage de Vélia a été décrit comme ayant inspiré la drachme lourde de Marseille (LT. 785-791). Certains l’ont même décrit comme un monnayage symmachique : un lion de Vélia étant l’équivalent de deux lions de Marseille. Aujourd’hui, cette théorie est remise en cause par G. Depeyrot, non sans arguments, mais avec une certaine acrimonie. Le lion de Vélia a pu servir de modèle à celui de Marseille, mais à quelle date ? La frappe à Vélia commence dans la seconde moitié du V e siècle avant J.-C. pour se poursuivre jusqu’en 281 avant J.-C. À quel moment les Mas- saliotes auraient-ils empruntés le lion de Vélia ?

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