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137 GRANDE-BRETAGNE / ROUELLES / CELTES DE L’EST ATREBATES ET REGNI - ÉPATICCUS bga_365016. Denier EPATI « Atrebatic L », (Ar, Ø 10,5 mm, 12 h, 1,30 g). Flan un peu court et ovale, mais très bellemonnaie avec des types complets. Frappe vigoureuse au droit, un peu plus molle au revers. Agréable patine irisée de médaillier, sur un métal cristallisé. ABC. 1346 - M. 263 - VA. 580 - BIAC. 2024 - S. 356 (65£) - MONNAIES XV, n° 1389. R. SUP 225 € C’est le n° 600 de MONNAIES 55. Avec un tel avers, tous les détails sont bien visibles et la légende EPATI est particulièrement complète. ICENI - ICÉNIENS bga_346049. Unité ou denier en argent « East- Anglian type », (Ar, Ø 13,5 mm, 1,22 g). Superbe exemplaire sur un flan un peu court et scyphates, avec un droit mou mais une frappe particulièrement vigoureuse et bien centrée au revers. Très belle patine de médaillier. LT.Evans. XV, 3‑14 var. - VA. 760 - BIAC. 4360. TB+ /SPL 135 € Certaines analyses semblent montrer que le titre d’argent s’est abaissé pour tomber au-dessous de 40% d’argent dans certains cas. Les monnaies ne sont plus alors en argent, mais en billon. ROUELLES bga_357011. Rouelle en argent à six rayons torsadés en ovales, (Ag, Ø 16,5 mm, 1,58 g). Très beau petit objet avec une belle patine grise et cristallisée, sans défaut. LT.-. RRR. TTB+ 480 € Ce type de rouelle est très rare ; c’est la première que nous proposons à la vente. Les rayons sont torsadés et joints par paire, formant trois ovales. Les six rayons sont associés au centre par un globule en argent. On note aussi une zone en relief, à midi au droit ; l’utilisation précise de cette rouelle reste à définir. Les rouelles celtique en potin et à quatre rayons sont assez courantes, mais les rouelle enmétal noble (argent et or) sont rarissimes ! Pour l’or, nous n’en avons proposé qu’un exemplaire et pour l’argent, c’est le huitième exemplaire et le premier de cette forme. CELTES DU DANUBE IMITATIONS DES TÉTRADRACHMES DE PHILIPPE II ET DE SES SUCCESSEURS bga_365027. Tétradrachme au cavalier, imitation de Philippe II, (Ar, Ø 25 mm, 2 h, 13,78 g). Très bel exemplaire, complet et homogène, avec une patine grise. LT. 9701‑9703 var. - KO. 350‑351 var. - Göbl, OTA cf. pl.4, n° 14 ff. RR. TTB+ 480 € Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétra- drachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste principal sujet d’inspiration des monnaies pour les Celtes duDanube (LT. 9697‑9767, 9768‑9832, 9618‑9630, 9870‑9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du III e siècle avant J.‑C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles. bga_359452. Tétradrachme au cavalier, imitation de Philippe II, (Ar, Ø 24,5 mm, 12 h, 13,67 g). Tétradrachme complet, sur unflan un peu court, et fortement usé. Patine grise. LT. 9701‑9703 var. - KO. 350‑351 var. - Göbl, OTA cf. pl.4, n° 14 ff. RR. TB+ 180 € Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétradrachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste le principal sujet d’inspiration desmonnaies pour les Celtes du Danube (LT. 9697‑9767, 9768‑9832, 9618‑9630, 9870‑9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du III e siècle avant J.‑C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles.

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